Mathiopé, fuyant la sécheresse, se lance sur les sentiers de l'exil vers une mégalopole inhospitalière. Si l'ironie, le persiflage, le commentaire désabusé lénifient l'atroce drame humain qui sous-tend le roman, celui-ci n'en a pas moins la saveur du fruit défendu et la truculence d'un pamphlet.