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Abribus

  • Abribus
Date de création : 27/02/2006
Genre : Théâtre
Pays principal concerné : Rubrique : Théâtre

de : Laurent Van Wetter
mise en scène : Hassane Kassi Kouyaté
lumières : Cyril Mulon
costumes : Anuncia Blas
univers sonores : Stéphane Gombert
avec Dominik Bernard, Elizabeth Czerczuk, Jérémie Lippmann, Sara Martins
production Compagnie Deux temps Trois mouvements, La Scène Watteau

Un abribus comme tant d'autres. S'y croisent des voyageurs qui partent, d'autres qui arrivent… Ils se regardent ou ne se regardent pas, se parlent ou s'évitent. Certains avaient rendez-vous ensemble, d'autres trompent leur solitude à l'aide d'un téléphone portable...
Abribus, pour Hassane Kassi Kouyaté, c'est un fragment de vie, flash de vie, écho de paroles proférées dans un instant rêvé, un instant vécu, le temps d'une vie, le temps d'un questionnement.
Abribus est une parenthèse joyeuse, profonde et ludique de théâtre. Les acteurs dans un jeu enlevé et distancié laisseront transpirer le caractère étonnamment caustique et universel du texte...
Le jeu et le plaisir n'ont jamais tué le sérieux. Amusons-nous ! nous dit Hassane Kassi Kouyaté.
Abribus, la troisième œuvre de l'auteur belge Laurent Van Wetter, parle de nos rêves, de la petite tragédie de notre quotidien, de notre victoire éphémère, de nos travers pathétiques et surtout de notre quête d'amour où le glorieux flirte souvent avec le ridicule.
Quatre acteurs seulement jouent plus de quarante personnages.
Ces personnages, dont nous n'apprenons que fortuitement au détour de leurs conversations les prénoms, sont désignés dans le texte sous des appellations emblématiques : la délaissée, la compliquée, l'amoureuse, le mangeur de cacahuètes (un boulimique), la rêveuse déçue, le scientifique... la mystique ou le surmené… tels des Caractères du moraliste La Bruyère. Entre deux passages d'autobus, ils se croisent dans des situations absurdes, cocasses, dramatiques, mais aussi dans des situations qui peuvent appartenir aux vécus de chacun d'entre nous.
Parfois je rêve d'un amour absolu et ça me rend triste, parfois je ne rêve de rien et c'est encore pire.
L'oeuvre est souvent souriante et tendre.

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